Communautés monastiques, indépendantes ou non, ne possédant pas le rang d’abbaye. À l’exception du cas clunisien, dans lequel les dépendances de l’abbaye-mère (Cluny) étaient toutes appelées « prieurés », ces communautés étaient de petite taille (moins d’une vingtaine, voire souvent d’une dizaine de membres). Le mot désigne aussi le complexe monumental abritant les religieux.
Référencé par:- RICHE Denyse, L’Ordre de Cluny à la fin du Moyen Âge. « Le vieux pays clunisien », XIIe-XVe siècles, Saint-Étienne : Presses Universitaires de Saint-Étienne, 2000, 765p.
- RICHÉ Pierre, Gerbert d’Aurillac, le pape de l’an mil, Paris : Fayard, 1987 (réimpr. 2006), 332 p.
- Pouvoirs, Église et société dans les royaumes de France, de Bourgogne et de Germanie, de 888 aux premières années du XIIe siècle
- La vie des moines au temps des grandes abbayes (Xe-XIIIe siècles)